Polo, Neuville.
"Par rapport aux années passées, je n’ai pas remarqué de clans dans les joueurs, ils semblent tous soudés. Après les avoir vus jouer, tout à l’heure, je pense que nous avons les qualités requises pour faire un bon deuxième tour. Le match, face au Turcs, était plaisant à regarder.
L’ambiance est toute autre. Aujourd’hui, ils sont tous réunis et ne sont pas éparpillés, dans l’hötel.Cela fait plaisir de les voir unis, de cette manière. Le coach a un bon groupe pour travailler.
À l’exception de l’an dernier, je suis présent lors de chaque stage. Je prends toujours du plaisir à revenir et côtoyer le staff et les joueurs. Ce qui me peine un peu, c’est le nombre de supporters présents. Avant nous étions près de 80 et cette année, nous ne sommes pas 10. Le prix à payer, pour participer à ce stage, est certainement un critère qui a fait fuir certaines personnes. Si l’on cumule à cela les quelques prestations négatives, il est normal que les gens hésitent à les accompagner en stage, pensant que le stage n’apportera pas un plus et que les joueurs vont se la couler douce. Moi, qui suis présent, je peux affirmer que les joueurs ont travaillé d’arrache-pied, durant une semaine".
Jeannine, Genappe.
" Nous sommes là, mon mari et moi, pour accompagner notre petit fils (Maxime Vandermeulen, ndlr). Il évolue en équipe espoirs, mais à été convié à ce stage.
C’est un bonheur pour nous que de soutenir notre petit-fils et l’équipe du Sporting de Charleroi, avant tout."
Jean-Pierre, Genappe.
"Comme mon épouse, je suis là pour accompagner mon petit-fils. En plus de suivre les matches de l’équipe première et des espoirs, nous allons régulièrement à Marcinelle, où s’entraînent les équipes."
Serge, Luttre.
"Je suis supporter depuis plus de 30 ans. Ce n’est pas la première fois que j’accompagne l’équipe en stage. Les fois précédentes s’étant bien passées, j’ai décidé de revenir.
Le climat ensoleillé apporte un plus au stage. Lors de mon dernier stage, le temps était moins clément.
À l’exception d’une excursion qui ne fut pas à la hauteur de mes espérances, je garderai un très bon souvenir de ce stage."
Laurent, Luttre.
"Il y a une quinzaine d’années que je suis supporter. Participer à un stage est l’occasion de vivre la vie du club de l’intérieur. Cela permet d’être en contact avec les joueurs, c’est un tout autre environnement. Dans le même temps, cela permet d’apprécier les superbes infrastructures de l’hôtel, le tout dans une très bonne ambiance.
Au quotidien, cela vous rapproche un peu plus des joueurs, avec lesquels vous pouvez discuter. Ce fut un grand succès ensoleillé."
Jean-Claude, Genappe.
" Je suis le papa de Maxime Vandermeulen. Je suis ses entrainements régulièrement, depuis l’époque du RJ Wavre. À présent, il intègre, peu à peu, l’équipe première. Les choses devraient bien se passer pour lui.
Les infrastructures sont superbes et le temps est magnifique. On n’aurait pu rêver mieux.
J’ai eu l’occasion de discuter avec Michel Iannacone de Maxime. Il semble content de lui et de son stage."
Mariette, Forchies-la-Marche.
"Je n’ai aucune critique à faire, les choses se déroulent d’une superbe manière. Même le temps est avec nous, le soleil est présent.
Je suis abonnée au Sporting, en T1, et je prends plaisir à les accompagner en stage chaque année. Cela me permet aussi de côtoyer un peu plus les joueurs et ce, même si mes préférés (Rossini et Kaya, ndlr) sont absents."
Daniel, Monceau-sur-Sambre.
"Je suis un assidu du Sporting. Je ne suis pas abonné, car je passe une grande partie de l’année en Espagne.
Tout se passe très bien, les installations et la nourriture sont de grandes qualités.
Si je devais émettre un léger reproche, ce serait de changer d’hôtel. Nous venons ici depuis plusieurs années et nous connaissons l’établissement dans ses moindres recoins. Un peu de changement ne serait pas malvenu.
Les joueurs et le staff sont cordiaux, ils ne rechignent pas à discuter avec vous."