D. Dessoleil : « Gjoko et moi, on se connaît bien. »

9 décembre 2018

"L’action, sur le but anderlechtois, est tellement soudaine. J’entends Nico (Penneteau) crier mais je ne comprends pas ce qu’il crie. Je pensais qu’il allait sortir et, finalement, il est trop décalé que pour pouvoir intervenir.

L’élimination a été difficile, pour nous, ce mercredi, car nous avions, quand même, fait un match solide. Nous avions à cœur de réagir et de repartir du bon pied. C’est ce que nous avons fait, en réalisant une très bonne première mi-temps et en repartant d’Anderlecht avec un bon point.

Ce prochain vendredi, il conviendra d’aborder notre prochaine rencontre, sereinement, face à La Gantoise et de faire le maximum pour prendre les trois points, comme nous l’avons fait ces cinq derniers matches, à domicile.

Nous n’avons eu aucune difficulté, Gjoko et moi, de retrouver nos automatismes. L’un et l’autre, nous nous connaissons bien, cela fait quelques années que nous évoluons, ensemble. On essaie de parler le plus possible et il peut être crédité d’un bon match. Cela n’a pas été évident, pour lui, surtout dans un tel contexte mais, d’un autre côté, il peut compter sur une solide expérience internationale. Cela lui a fait du bien de pouvoir bien prester, durant l’intégralité d’un match.

Par ailleurs, nous avons dû composer avec une surface très difficile. Cette situation valait pour les deux formations, quoique Anderlecht dispose d’une équipe un peu plus technique. Cela les a certainement désavantagés un peu plus que nous. En tout cas, c’est la première fois que, personnellement, je dois jouer dans de telles conditions.